Transporter en bus une soixantaine de personnes à la fois, de Paris jusqu'à Amiens (Somme), en émettant zéro pollution et dans un silence (presque) de cathédrale... Voilà la promesse de Flixbus, spécialiste du transport longue distance (les fameux « autocars Macron») qui a pour partenaire l'opérateur B.E. Green, une filiale du groupe autocariste Dominique. Ensemble, ils ouvriront dans moins d'un mois (aux alentours de Pâques), la première ligne régulière de bus 100 % électrique. « Une exclusivité mondiale, selon le directeur général de Flixbus, Yvan Lefranc-Morin. Jamais cela n'avait encore été proposé sur cette distance. » Lire l'<a target="_blank" href="http://www.leparisien.fr/economie/la-premiere-ligne-de-bus-100-electrique-va-ouvrir-entre-paris-et-amiens-12-03-2018-7603254.php">article</a>
Dépôt du projet Les partenaires français doivent soumettre un premier dossier de candidature pour décrire les principaux axes du projet par e-mail à mael.mbaye@bpifrance.fr avant le 31 mai 2018. Les projets sélectionnés seront instruits en France par les directions régionales de Bpifrance. Il est impératif de contacter Bpifrance avant le dépôt des <a href="mailto:mael.mbaye@bpifrance.fr">projets.</a> Conact: Bpifrance : Mael M’Baye - <a href="mailto:mael.mbaye@bpifrance.fr">mael.mbaye@bpifrance.fr</a> Plus d'informations <a target="_blank" href="http://www.bpifrance.fr/A-la-une/Appels-a-projets-concours/Partenariats-en-innovation-France-Allemagne-nouvel-appel-a-projets-2018-28120">ICI </a>
La fin de la crise politique outre-Rhin devrait en effet permettre de dégeler les discussions sur la réforme de l’UE, défendue par Emmanuel Macron lors de son grand discours pro-européen de la Sorbonne. L’issue de l’imbroglio né des élections législatives du 24 septembre dernier est en effet idéale pour le gouvernement français. Le premier projet de coalition « Jamaïque », impliquant les écologistes et surtout les libéraux du FDP, foncièrement hostiles à toute réforme de la zone euro, aurait pu sonner le glas de plusieurs propositions défendues par Paris. Elle a finalement échoué. Et alors qu’une crise profonde se profilait, paralysant l’Allemagne et de fait toute réforme d’ampleur de l’Union européenne, le SPD de Martin Schulz (en phase avec la ligne européenne française) a finalement accepté de revenir à la table des négociations avant de sceller (dans la douleur) un nouvel accord gouvernemental validé par ses militants. Lire <a target="_blank" href="http://www.demain.info/accord-merkel-spd-en-allemagne-macron-salue-une-bonne-nouvelle-pour-leurope-et-pour-lui/">l'article</a>
En tant que partenaire du projet en France, la Chambre Franco-Allemande accueillera ainsi en 2018 des start-up européennes dans le cadre d'un programme d'incubation à Station F. Les entrepreneurs participants bénéficieront non seulement d’un accès gratuit à un espace de travail pendant trois mois, mais aussi d’un accompagnement personnalisé : sessions de matchmaking, workshops ciblés et accès privilégié aux grands événements tech. La Chambre recevra également des délégations de start-up lors de « Discovery Tours » afin d'explorer l'écosystème d'innovation parisien. S’inscrivant dans le programme Horizon 2020 de la Commission Européenne, Access2Europe rassemble par ailleurs les partenaires Cube (Berlin), Peninsula (Barcelone) et Tehnopol (Tallinn), qui proposeront chacun une offre similaire à des start-up françaises. La scène start-up européenne est en plein essor, Paris et Berlin en tête de file des capitales européennes. De nombreuses start-up et entreprises de l’UE ont tout le potentiel pour devenir les chefs de file mondiaux dans certains secteurs de haute et moyenne technologie. Pourtant malgré les initiatives mises en place par certains Etats membres en vue de créer un environnement propice à l’innovation et à l’entrepreneuriat, start-up et scale-up rencontrent encore de nombreux obstacles dans leur développement sur le marché européen : obstacles réglementaires et administratifs, trop peu de possibilités de coopérer avec des partenaires commerciaux ou financiers ou avec des autorités locales et difficile accès au financement. En effet, plutôt que de prospérer et de s’étendre en Europe et au-delà, trop peu de jeunes pousses européennes perdurent après la phase critique des deux-trois ans, et celles qui parviennent à se développer en entreprises de plus grande taille sont encore moins nombreuses. Beaucoup font également le choix de s’internationaliser hors d’Europe, bien souvent tentées par la Silicon Valley. Ceci alors même que le marché unique offre des marchés ambitieux, un savoir-faire technologique et de nombreuses opportunités commerciales dans ses multiples hubs digitaux et industriels. Selon la Commission européenne, il pourrait y avoir jusqu’à un million de nouveaux emplois créés et jusqu’à 2 000 milliards d’euros ajoutés au PIB dans l’UE au cours des 20 prochaines années si la proportion de scale-ups correspondait à celle des États-Unis. La croissance de la productivité en Europe s’en trouverait améliorée. De plus, la définition de moyens pour soutenir l’expansion des start-ups bénéficierait également aux entreprises traditionnelles en les aidant à exercer leurs activités et à se développer au sein de l’UE. Plus d‘informations :<br /><link typo3/www.access2europe.org _blank>www.access2europe.org</link> <br /><link typo3/www.francoallemand.com/access2europe _blank>www.francoallemand.com/access2europe</link> Contact: <br /><a href="mailto:flotz@francoallemand.com">Friedemann Lotz</a> <br /><a href="mailto:lscharpf@francoallemand.com">Lucia Scharpf</a> <br />Manager de projet Access2Europe / Chambre franco-Allemande de Commerce et d‘Industrie
L’économie allemande profite d‘un rebond de la consommation, d‘un taux d‘emploi record, d‘une sécurité accrue du marché du travail, d‘une hausse des salaires réels et de coûts d‘emprunt faibles. Cette reprise a été récemment renforcée par le rebond des investissements des entreprises et des exportations. Lire l'<a target="_blank" href="https://fr.reuters.com/article/companyNews/idFRL8N1PX2SB">article</a>
Avec la globalisation, le management interculturel est devenu un sujet de plus en plus important pour les professionnels des ressources humaines. Nous avons rencontré récemment, Flixbus, une startup qui a grandit avec ce sujet. Avec des opérations dans plusieurs pays européens, l’entreprise engage des collaborateurs de pays très différents. La moyenne d’âge des collaborateurs de l’entreprise est de 27 ans. Ayant conservé le fonctionnement d’une start-up, l’entreprise se distingue par son dynamisme. Le multiculturalisme, l’expérience salarié et les formations innovantes sont les points forts de l’organisation. Les détails dans cet <a target="_blank" href="https://changethework.com/management-interculturel-flixbus/">article.</a>